Système participatif de garantie au bio : création de groupes locaux dans les îles

L’assemblée générale de l’association SPG Biofetia a été l’occasion de présenter le formateur aux contrôles d’audit (pour la garantie et l’obtention du label Biopasifika), Georges Tieya, présent en Polynésie française pendant un mois afin de contribuer à l’amélioration des procédures d’audit.

Celui-ci était déjà venu en novembre dernier, à l’invitation de Biofetia. En février/mars de cette année, son déplacement est pris en charge par la Direction de l’Agriculture (DAG).

Georges Tieya a proposé un nouveau processus d’audit et la mise en place de groupes locaux (GL) permettant plus de rapidité dans le traitement des dossiers de labellisation, une plus grande participation des agriculteurs et une meilleure implication des consommateurs. Les entités décisionnelles telles qu’elles étaient organisées (CTE, CTC, CT, CDC, CL) vont être réorganisées en rapport avec la création des groupes locaux.

Des séances de formation spécifiques ont été programmées en février et mars (à Tahiti, Moorea, Raiatea et Rurutu). Des documents d’accompagnement de ces présentations ont été préparés en amont, en collaboration avec la direction de l’agriculture et Biofetia.

Une journée thématique (cahier de culture, gestion des semences, fabrication  de purin à partir de plantes locales) a été également préparée, et se déroulera le 14 mars.

Le principe de la mise en place d’un nouveau processus d’audit et de la création de groupes locaux a été accepté à l’unanimité, sous réserve d’une définition précise qui va être formulée de manière synthétique à la fin du séjour en Polynésie française de Georges Tieya. Des séances de formation spécifiques ont été programmées en février et mars (à Tahiti, Moorea, Raiatea et Rurutu). Des documents d’accompagnement de ces présentations ont été préparés en amont.

Une journée thématique (cahier de culture, gestion des semences, fabrication  de purin à partir de plantes locales) a été également préparée, et se déroulera le 14 mars.

Au cours de l’AG, le bureau a été autorisé à acter les modifications ad hoc à intégrer, le cas échéant, dans les statuts de l’association et dans la charte qui est proposée aux adhérents.